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Channel: Radio Algérienne - Culture
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Coup d’envoi jeudi soir du 19e Festival culturel européen en Algérie

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Le duo musical autrichien Klak

Coup d’envoi ce soir (jeudi 26 avril), à Alger, du 19e Festival culturel européen en Algérie. Le premier spectacle aura lieu à la salle Ibn Zeydoun (Ryadh El Feth), qui accueillera à partir de 19 heures le duo autrichien « Klak » qui mêlera clarinettes et accordions pour interpréter des œuvres musicales locales et internationales.   Prévu  du 26 avril au 13 mai dans 5 villes (Alger, Oran, Tlemcen, Constantine et Annaba), le 19e Festival culturel européen en Algérie propose un programme qui comprend des spectacles de musique, de danse et des projections de film mettant à l'honneur la culture européenne. Une vingtaine de pays de la l'Union européenne prennent part à l'édition 2018 de ce rendez-vous culturel annuel.

«Les secrets d'Alger», une émission sur l'histoire d'Alger diffusée sur France 24

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Ph.DR

Le premier épisode d’une série-documentaire intitulée Les secrets d’Alger, consacrée à la ville d’Alger, revisitée à travers un prisme culturel et historique, a été diffusé vendredi sur la chaîne de télévision française France 24 en langue arabe. Réalisée et présentée par la journaliste libanaise, Tatiana Khoury, Les  secrets d’Alger revisite l’histoire de l’ancienne Icosium dans un récit historique, nourri d’images réelles et d’autres photos d’archives. Le numéro, le premier d’une série d’émissions programmées, remonte au début du XVIe siècle à l’époque où Alger était sous occupation ottomane.  Soutenue par un récit sur les dates phares qui ont marqué cette ville millénaire à l’époque ottomane, l’émission, déroulée sur fond musical évocateur, se construit comme une passerelle à la rencontre du passé et du présent à travers des images (animées) du passé lointain de la médina et des paysages et scènes de vie quotidienne. Le reportage fait halte au début XIXe siècle, une nouvelle page de l’histoire de l’Algérie qui s’ouvre avec le débarquement des forces coloniales françaises le 14 juin 1830 à Sidi Fredj (ouest d’Alger). La caméra de Tatiana Khoury s’est posée également à la Grotte de Cervantès située à Belcourt où s’était réfugié le romancier espagnol Miguel De Cervantès (1547-1616), et qui a vécu plusieurs années à Alger après sa captivité en 1575. Un passage qui aura une grande influence sur son œuvre, Don Quichotte, un des romans les plus importants de la littérature espagnole et mondiale. Le canon algérien Baba Merzoug, toujours exposé au port de Brest L’émission s'est également intéressée au canon légendaire «Baba Merzoug», une pièce d’artillerie longue de plus de 6 mètres et pesant 12 tonnes, conçue entre 1536 et 1542  dans une fonderie algéroise.  Sa portée de 4,8 km donnait à l'époque à Alger sa réputation de citadelle imprenable, «El mahroussa». A la conquête de l’Algérie par l'armée française en 1830, Baba Merzoug, baptisé «La Consulaire», a été transporté à Brest (nord de la France) et, depuis, exposé au Port de cette ville. Plus loin à l’ouest, le reportage fait halte à Tipasa où se trouve le tombeau Mausolée royal de Maurétanie, surnommé «Kbar Erroumia» (Tombeau de la Chrétienne). Un monument de l'époque numide classé au patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco. A ce sujet, la journaliste et productrice de l'émission donne parole à Sabah Ferdi, directrice de recherches au Centre national de recherche en archéologie (CNRA), qui a expliqué que le monument avait été construit au début du Ier siècle avant J. C. D’autres sujets consacrés à la richesse et la diversité de la culture algérienne ainsi que des figures de la Révolution, répartis sur quatre  numéros, seront diffusés prochainement, a annoncé Tatiana Khoury, citée par  des médias.

Des Journées culturelles tunisiennes en Algérie du 28 au 30 avril

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Ph.DR

Le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, et son homologue tunisien Mohamed Zin El-Abidine, ont affirmé, vendredi, que l'organisation par l'Algérie des Journées culturelles tunisiennes, à partir de ce samedi et jusqu'au 30 avril courant, confèreront une fois de plus une nouvelle dynamique aux relations profondes liant les deux pays et peuples et se veut une occasion pour réaffirmer que l'Algérie et la Tunisie sont deux pays et un seul peuple.  Lors de l'audience qui' il a accordée à son homologue tunisien à Alger,  M. Mihoubi a indiqué que les relations culturelles qui lient les deux pays n'ont connu aucune absence de part et d’autre dans les manifestations qu'ils organisent, affirmant que la culture est à même de renforcer les liens de fraternité consolidés par les présidents des deux pays et qui sont enracinés dans l'histoire.     Pour sa part, le ministre tunisien, Mohamed Zin El-Abidine a souligné l'importance des Journées culturelles tunisiennes organisées en Algérie, qui se veulent une relance renouvelée et une volonté des deux pays qui partagent les facteurs géographique et historique.  Pour rappel, ces Journées culturelles verront l'organisation de plusieurs activités, dont l'animation d'une conférence sur «Les liens historiques profonds algéro-tunisiens», qui sera donnée par le Dr. Mohamed El-Haddad, à la Bibliothèque nationale d'El-Hamma, ainsi que la présentation d'une pièce théâtrale intitulée «D'autres diables» au niveau du Théâtre national algérien Mahieddine Bachtarzi.

L’œuvre de Gabriel Garcia Marquez s’invite sur les planches du TNA

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La pièce, "Autres démons", adaptée au théâtre d’une œuvre littéraire de Gabriel Garcia Marquez, par le metteur en scène tunisien Walid Daghsni, a été présentée samedi soir à Alger, en ouverture des Journées culturelles tunisiennes en Algérie. Présenté devant un public nombreux au Théâtre national Mahieddine-Bachtarzi, le spectacle est une projection sur la réalité des sociétés dans le monde, conçue, au second degré par Walid Daghsni qui a adapté "De l’amour et autres démons", chef d’úuvre littéraire paru en 1994, de Gabriel Garcia Marquez (1927-2014), prix Nobel de littérature en1982. Mis en scène dans un mélange des genres, entre expérimental et symbolique aux formes et aux allures de psychodrame, le spectacle a laissé l’assistance, près de 70 mn durant, en suspens, à travers l’histoire poignante d’une jeune femme atteinte de rage après avoir été mordue par un chien. L’état de démence répétée de la jeune femme à la chevelure longue, exaspère les convoitises d’un guérisseur religieux qui, convaincu qu’elle  est habitée, prétend pouvoir l’exorciser, et d’un scientifique en quête de  découverte d’un remède à la rage, voyant en la jeune femme un bon sujet d’étude qui lui permettra d’avancer dans ses recherches. Cette situation singulière attire la curiosité d’un jeune journaliste venu à la rencontre de la jeune malade, proie des deux antagonistes, avant de  tomber amoureux d’elle... Bien adapté, le spectacle, entretenu dans la dualité et la métaphore, met à nu le monde actuel, fait de mensonges,  d’injustice et de haine, dénonçant l’Homme dans ses faiblesses, son opportunisme, ses croyances et ses rituels démesurés. Déroulé sur une scène nue, le spectacle puise sa force de la densité du texte et du jeu des comédiens, Ameni Bellag (femme), Mounir Ammari (scientifique), Neji Kanouati (religieux) et Oussama Kochkar (journaliste)  qui ont brillamment servi la trame dans des dialogues au rythme ascendant et soutenu. Les différentes situations ont été appuyées par des chorégraphies réglées  avec minutie qui ont donné à la violence des échanges, plus de force et permis aux spectateurs d’en saisir la pertinence. Dans des atmosphères lugubres, le spectacle, produit par "Clandestino Prod", a redoublé d’intensité grâce à un éclairage intelligent -vertical ou latéral- conçu dans la pénombre et une bande son, faite d’extraits inspirant l’ordre établi et de bruitages évoquant le tourment ou l’emballement des évènements. Les comédiens ont longtemps été applaudis par les spectateurs, parmi lesquels le ministre de la Culture Azeddine Mihoubi et son homologue tunisien Mohamed Zine El Abidine, ainsi que les responsables de quelques missions diplomatiques accréditées en Algérie. Auparavant dans la matinée, une conférence sur "Les liens historiques profonds algéro-tunisiens", a été animée à la Bibliothèque nationale d’El  Hamma par le Dr. Mohamed El-Haddad. La Semaine culturelle tunisienne en Algérie se poursuit jusqu’au 30 avril à la Cinémathèque d’Alger, où seront projetés six films tunisiens, entre documentaires, courts et longs métrages.                  

Laghouat : près de 300 adeptes de la Tidjania attendus à Ain-Madhi

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Près de 300 adeptes de la Tariqa Tidjania, issus de divers pays d’Afrique, entameront à partir de lundi, un circuit à travers les sites et autres lieux tels que les sépultures de la Tariqa à Ain-Madhi (à 70 km à l’ouest de Laghouat), a appris l’APS auprès du Calife général de la confrérie. Cette visite « spirituelle et fraternelle reflète l’engouement des adeptes de découvrir le berceau de la Tariqa Tidjania et le lieu de naissance de son Cheikh, Sidi Ahmed Tidjani », a indiqué le Calife général, Cheikh Ali Tidjani. Les adeptes de la Tidjania vont visiter les sites de la Tariqa, à l’exemple de la maison de Sidna Cheikh, la mosquée Sidi Mohamed Lahbib, le palais de Kourdane et le mausolée de Sidi Mohamed El-Arrabi Demraoui à Ain-Madhi. Ils se rebdront par la suite à Boussemghoune et Chellala El-Keblia, dans la wilaya d’El-Bayadh) où se trouve rassemblés d’autres sites de la Tariqa, à l’instar de la Khelwa (lieu de médiation), avant de retourner à Ain-Madhi puis de se rendre Alger, a-t-il précisé. Un premier groupe de 95 adeptes est arrivé samedi soir. Il sera suivi d’un second groupe de 195, cet après midi, issus du Sénégal, de Gambie, de Guinée et du Niger, annoncent des responsables de la Tariqa Tidjania à Ain-Madhi. Cheikh Ali Tidjani a indiqué que la zaouia avait accueilli récemment son représentant en Italie ainsi que des visites régulières de délégations d’adeptes venus de Lyon (France), ce qui témoigne de la propagation de la Tariqa à travers le monde.   La Tariqa Tidjania avait été fondée à Boussemghoune (El-Bayadh), en 1782, par Cheikh Sidi Ahmed Tidjani, natif  d' Ain-Madhi (né en 1737)  à la maison « Sidi Belkacem », un lieu figurant à ce jour sur le circuit de visites des adeptes de la Tidjania.  

"En attendant les hirondelles" primé au 13e Fifog

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Le long métrage de fiction "En attendant les hirondelles" de Karim Moussaoui  a été primé samedi au 13e Festival international du film oriental de Genève (Fifog), ont annoncé les organisateurs. En compétition dans la section des longs métrages, la fiction a remporté le "Fifog d'or" de la critique, une distinction décernée au réalisateur lors d'une cérémonie de remise des prix du 13e Fifog ( 21-29  avril). Le jury a apprécié l'œuvre de Karim Moussaoui pour son "écriture scénique audacieuse", son "regard à la fois distant et impliqué d'une Algérie qui se mue et se recherche". Premier long métrage du réalisateur, "En attendant les hirondelles" est une fiction qui traite de l'Algérie d'aujourd'hui, entre "traditions et modernité"à travers les histoires de trois personnages. En 2017, date de sa sortie, le film a remporté le "Prix du meilleur montage" aux 28e Journées cinématographiques de Carthage (Jcc) et sacré du "Wihr d’or", haute distinction du Festival international d’Oran du film arabe (Fiofa 2017). Le jury a également distingué "Soheila" du réalisateur iranien Mahmoud Ghaffari, alors que le Fifog d'argent est revenu à "Israfil" de son compatriote Ida Panahendeh. Dans la catégorie documentaire, " Des rêves sans étoiles" du réalisateur iranien Mehrdad Oskouei a décroché le Fifog d'or alors que "Ya omri" du Libanais Hady Zaccak  s'est vu attribuer la même distinction en argent. Le jury du court métrage, autre catégorie compétitive, a attribué le Fifog d'or à "Toprak" du réalisateur turc Onur Yagiz, alors que  "Gaze" de l'Iranien Farnoosh Samadi a été couronné du Fifog d'argent.

Le 9e Festival international de danse contemporaine : confronter le classique et le contemporain sur scène

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«Dialogue avec l'infini», un célèbre spectacle  présenté Samedi soir à Alger par La troupe italienne du «Nuovo Balleto Classico» ( le nouveau ballet classic). La troupe s'est produite sur la scène de l'opéra d'Alger Boualem-Bessaih, dans le cadre du 9e Festival international de danse contemporaine d'Alger inauguré vendredi et dont l'Italie est l'invitée d'honneur. L’œuvre est une confrontation entre danse classique et contemporaine, une merveille qui met en avant la grande  maitrise et la richesse du ballet italien. Composée d’une quinzaine de danseurs sur scène, cette troupe a présenté un  spectacle mettant dos à dos la danse classique et les chorégraphies contemporaines comme pour confronter une vision conservatrice et une autre  plus novatrice de la danse. Avec une maitrise technique impressionnante quatre danseurs étoiles (un duo classique et une autre contemporain) donne l'impression de se disputer l'amour des danseuses en se laissant séduire par l'un ou l'autre des deux univers. Les danseurs du ½Nuovo Balleto Cassico» ont parfaitement réussi à démontrer au public que ces deux styles de danse ont plus en commun qu'il ne parait et que la technique reste la base de toute créativité. En ouverture de cette seconde soirée du festival, le Ballet de l'Opéra d'Alger a présenté sa dernière création intitulée ½Dada», un spectacle mettant en scène un couple perdu dans la souffrance causée par un comportement misogyne  faisant de la femme le jouet préféré du personnage masculin. Sur les planches, l'amour se transforme en prise d'otage avant de complètement vider la femme de son âme. En filigrane de cette chorégraphie, le public a très clairement saisi les allusions et la dénonciation de la violence faite aux femmes et de la misogynie que les concepteurs voulaient mettre en avant. En dernière partie de soirée, les danseurs égyptiens de la compagnie de danse moderne ont tenté une expérience audacieuse et peu commune dans le monde arabe, mettre en scène une chorégraphie abordant le ½mysticisme et le monde des esprits et des djinns». En plusieurs tableaux indépendants, la troupe égyptienne a brillé par le choix des musiques très varié, allant de la musique mauritanienne au tarab en passant par le jazz, en plus d'avoir abordé des rituels de transe et des cérémonies religieuses avec un regard artistique emprunt de sensibilité et de technicité. Beaucoup plus portée sur la performance artistique et la précision du geste que sur la création chorégraphique, la compagnie croate ½Masa Dance» s'est également produite lors de cette soirée qui a vu une affluence modeste du public. Inauguré vendredi, le 9e Festival international de danse contemporaine se poursuit jusqu'au 30 avril avec encore au programme des compagnies de danse en provenance du Mali, de Turquie, d'Espagne, de Russie ou encore des Etats Unis.

Lancement d'un concours national de créativité en tapisserie et tissage traditionnel

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Le palais de la culture «Abdelkrim Dali» de Tlemcen, a abrité ce dimanche 29 avril 2018 le lancement du premier concours national de créativité en  tapisserie et tissage traditionnel. Le coup d’envoi du concours  a démarré en présence de représentants du ministère de la Formation et de l'Enseignement professionnels et des autorités de wilaya. Le concours est organisé par la direction de wilaya de la formation professionnelle en collaboration avec la chambre d’artisanat et des métiers, l’université «Abou Bekr Belkaid» et les directions de la culture et du tourisme. Une organisation qui rentre dans le cadre de la célébration du mois du patrimoine, elle durrera deux jours durant  et verra la participation de plus de 20 artisanes et stagiaires des établissements de formation venus 14 wilayas du pays, a indiqué la directrice de wilaya de la formation professionnelle, Zeddour Brahim Hafida. Une opportunité qui va permettre aux participantes spécialisées en tapisserie et tissage  traditionnel de mettre en exergue leurs talents dans une exposition tenue à  cette occasion et de commercialiser leurs produits.  Cette manifestation organisée sous le slogan «tissage traditionnel entre  authenticité et modernité» permet d’évaluer les produits exposés à travers l'utilisation des couleurs et des techniques, par un jury composé de cinq membres des secteurs participant à cette manifestation. Les lauréates recevront des prix d’encouragement pour leur contribution à préserver ce genre d’artisanat dont le Haik et El Mensoudj. Deux communications ont été animées lors la première journée de cette manifestation, abordant l’importance des métiers dans le développement économique et la réalité et les perspectives du tapis par un universitaire et un artisan. L’enseignant d’économie à l’université de Tlemcen, Kerzabi Abdellatif a mis l’accent sur l’importance que revêtent les métiers pour relancer et diversifier l’économie et se libérer de la dépendance de hydrocarbures, rappelant que l’Algérie exportait pas mois de 400.000 mètres carrés de tapis en 1980 vers la France, l’Allemagne et la Suisse. L’artisan Hadj Mehdid Mustapha a déclaré, pour sa part, que la wilaya de Tlemcen est toujours leader en tapisserie et tissage, qui constituaient une source de revenus et de substance pour des familles tlemcéniennes et généraient de l’emploi.  Il a ajouté qu’il est nécessaire de transmettre les techniques de la tapisserie aux jeunes stagiaires des CFPA.Le tapis de Tlemcen du genre «Barbar» et «Djassi» était le plus exportés vers les pays européens, rappelant qu’en 1970 le plus grand taux d’exportation de tapis enregistré a été vers les pays occidentaux.  

Le 11ème festival national culturel de musique et danse Diwane à Bechar, du 1er au 05 juillet 2018

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Pour les adeptes de la musique Gnawi, la ville de Bechar leur donne rendez vous pour venir assister au  11ème festival national culturel de musique et danse Diwane, qui se déroulera  du  1er au 05 juillet prochain.. Le commissariat du festival annonce qu’ «Une centaine de musiciens représentants une douzaine de troupes de ce  genre musical et chorégraphique ancestral prendront part à cette édition, qui coïncide avec la célébration du 56ème anniversaire de l’indépendance (5 juillet 1962)». La présélection des troupes qui animeront les représentations artistiques de cette manifestation nationale débuteront prochainement sous la supervision des organisateurs, a-t-on précisé. Ce festival traditionnellement marqué par plusieurs événements artistiques et académiques en marge des soirées musicales et chorégraphiques, compte partager une nouvelle fois une programmation très variée dans une ambiance plus que chaleureuse qui satisfera tous les amoureux de la musique Diwane et des autres styles musicaux algériens, a-t-on signalé. Des prix de 100.000, 80.000 et 60.000 dinars seront décernés par un jury aux trois troupes lauréates lors de ce festival, en plus d’une participation assurée au prochain festival international de la musique Diwane à Alger, a-t-on encore souligné.

Clôture à Alger du 9e Festival international de la danse contemporaine

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Plusieurs créations chorégraphiques algériennes réalisées en master class par des danseurs amateurs ont été présentées lundi soir à l'Opéra d'Alger, en clôture du 9e Festival international de danse contemporaine. Participant aux précédentes éditions du Festival, la troupe "Face To Face" est revenue cette année avec une nouvelle chorégraphie intitulée "Le début de la fin", un spectacle empreint d'un grand dynamisme mettant en scène de manière cyclique le droit à une deuxième chance pour réparer ses torts. Les chorégraphes formateurs Noureddine Kedour et Abdeldjebar Mehdaoui ont par la suite présenté tour à tour les spectacles "Nostalgya" et "Pulsion", conçus en quelques jours lors d'un master class à l'Institut supérieur des métiers des arts de la scène (Ismas). Plusieurs autres danseurs algériens ont rejoint les quatre artistes américain de la compagnie "Body Traffic" pour une autre création rassemblant une trentaine de danseurs. Si ces spectacles, séduisants par leur énergie, ne portent pas encore un contenu recherché et une création réfléchie, ils prouvent cependant l'existence de jeunes talents prometteurs dans les groupes amateurs et dans les écoles d'arts et structures de jeunesse. Le public, relativement nombreux, de l'Opéra a également eu l'occasion de découvrir sur scène la compagnie malienne "Karomna Studio".  Les quatre danseurs de cette troupe ont présenté un spectacle revisitant les danses populaires du Mali, avec un choix musical typiquement sahélien et des costumes symbolisant la culture locale en plus d'avoir intégré un musicien au spectacle, jouant de la kora et faisant office de griot. Reconnue comme institution de la danse contemporaine africaine, cette compagnie œuvre pour la promotion de la culture africaine depuis sa création en 2000. Autre travail purement contemporain et très athlétique présenté au public, "Je te haime" de la compagnie espagnol "Hurycan" est une chorégraphie explorant les relations humaines en matérialisant les émotions et les intentions par des corps sans donner d'importance à la musique et au rythme. Le public de l'Opéra d'Alger a également eu l'occasion d'apprécier un spectacle d'un collectif d'étudiants de l'Institut russe des arts du théâtre qui ont présenté une chorégraphie alliant des inspirations classiques et des influences folkloriques. Inauguré vendredi, le 9e Festival international de danse contemporaine d'Alger a pris fin lundi soir, après une cérémonie de clôture qui s'est déroulée en présence du ministre de la Culture Azzedine Mihoubi. APS  

Plus de 3.700 pièces archéologiques déposées au musée public national Cirta

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Plus de 3.700 pièces archéologiques ont été déposées par les services de la Direction de la culture de la wilaya de Mila au musée public national Cirta de Constantine, a indiqué mercredi le chef du service patrimoine de cette Direction, Lezghad Chiaba. Ces vestiges, remis au musée le 30 avril passé, se composent de 3.712 pièces de monnaies anciennes et 7 pièces métalliques à usage cosmétique appartenant à diverses périodes historiques anciennes, a précisé le même responsable. Les services de la Direction de la culture ont récupéré ces pièces archéologiques par le biais des services de sécurité au terme de six opérations entreprises par la Sûreté de wilaya et une opération par la Gendarmerie nationale, a précisé la même source. "C’est la troisième opération de transfert vers ce musée depuis le début de l’année en cours", a indiqué le chef du service patrimoine, rappelant que les deux précédentes opérations de dépôt avaient porté sur le transfert respectif de 1.495 et 781 pièces archéologiques parmi lesquelles des bijoux, des lampes à huile, des pièces de monnaie, des outils de pierre et divers objets en céramique et autres métaux. Ces transferts sont effectués sur la base d’autorisations du ministère de la Culture dans le but de protéger ces biens culturels dans des conditions adéquates, a expliqué M. Chiaba. APS

Journées d'information et de promotion à New York sur la culture et le tourisme en Algérie

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Le Consulat général d'Algérie à New York organise en collaboration avec la Mission permanente d'Algérie auprès de l'Organisation des Nations Unies, des journées d'information et de promotion sur la culture et le tourisme en Algérie, vendredi et samedi. Première du genre à New York, cette initiative s'inscrit dans le cadre des efforts déployés par l'Algérie conformément aux instructions de Son Excellence Monsieur le Président de la République, pour diversifier l'économie nationale. Elle vise à donner plus de visibilité culturelle et touristique à notre pays et tisser des liens d'amitié et de coopération avec les membres de la communauté internationale en général et le pays hôte en particulier. L'Algérie dispose de plusieurs atouts qui méritent d'être mis en évidence notamment : premier pays africain en terme de superficie et une position stratégique qui lui confère un rôle particulier en tant que pont entre l'Europe, l'Afrique et le Monde Arabe, sa stabilité politique et sécuritaire, un riche patrimoine culturel et touristique, des ressources humaines et économiques appréciables et des infrastructures importantes. Les relations entre l'Algérie et les Etats-Unis connaissant une nouvelle dynamique encourageante, porteuse d'espoir et des intérêts pour les deux pays. La dimension humaine est un axe fondamental et important appelé à renforcer davantage les relations bilatérales, guidées par le respect, la compréhension mutuelle et l'ouverture sur la culture et la civilisation de l'autre. Lors de cet évènement, sont prévues des expositions de produits artisanaux et sur le tourisme, des présentation de la gastronomie algérienne avec des séances de dégustation de produits du terroir algérien (dattes, couscous, huile d'olives...), ainsi que l'organisation de soirées musicales. Le tourisme sera mis en relief pour promouvoir l'Algérie comme destination touristique et faire connaitre notre pays auprès du public américain, par la distribution de dépliants et projections de documentaires sur les zones touristiques, les sites historiques et archéologiques, particulièrement, ceux inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. L'Algérie sera, pendant deux jours, au c£ur de la capitale économique et culturelle des Etas Unis et de l'Organisation des Nations Unies. La manifestation est ouverte au public et une participation nombreuse est attendue. Une large couverture médiatique a été lancée par le canal des médias et réseau sociaux, ainsi que des membres de notre communauté. Un écho très favorable a d'ores-et-déjà été enregistré auprès du public pour venir découvrir les différentes facettes de l'Algérie et partager son riche patrimoine culturel, touristique et culinaire. La réussite de ces journées de promotion de l'Algérie à New York permettra d'ouvrir de nouvelles perspectives pour rééditer dans le futur et sur une base régulière ce genre de manifestation avec une plus grande envergure englobant notamment le segment économique. Il convient de noter, enfin, que l'évènement "Algeria's days in New York" intervient en prélude à la célébration, pour la première fois, de la journée internationale du vivre ensemble en paix, le 16 mai prochain, instituée par l'ONU le 8 décembre 2017, à l'initiative de l'Algérie. APS

Des médailles de l'ordre du mérite national décernées à plusieurs hommes de lettre, intellectuels et artistes algériens et étrangers

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Vingt-neuf (29) hommes de lettre, intellectuels et artistes ont été décorés dont certains à titre posthume mercredi à Alger de l'ordre du mérite national "Athir" et "Djadir" en reconnaissance de leurs œuvres intellectuelles et créatives. La cérémonie de distinction, placée sous le haut patronage du président de la République,  s'est déroulée à l'Opéra d'Alger Boualem Bessaih sous l'egide du président du Conseil de la Nation, Abdelkader Bensalah, en présence du ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi et de plusieurs membres du gouvernement ainsi qu'un nombre  d'intellectuels et d'artistes. La liste des personnalités distinguées, annoncée par le Secrétaire général du Conseil de l'Ordre de mérite à la Présidence de la République, Mohamed Saleh Akka, compte 29 personnalités, vivantes ou décédées dont trois (03) étrangères connues pour leurs positions soutenant la révolution algérienne.    La liste des personnalités honorées comporte des intellectuels, des poètes, des écrivains, des chercheurs et des artistes dans divers genres artistiques, entre acteurs, musiciens et plasticiens.  Des médailles de l'ordre de mérite au rang "Athir" ont été décernées à quatre personnalités distinguées, à savoir Lamine Bechichi, compositeur, musicien et ex-ministre, le Dr. Saïd Chibane, médecin, combattant et académicien, le Dr. Zouheir Ihaddaden (1929-2018) et le Dr. Moulay  Belhamissi (1930-2009), historien originaire de Mazouna (wilaya de Relizane). Les médailles Al Jadir ont été décernées à des personnalités qui se sont distinguées dans leurs domaines de spécialité et ont contribué largement à ces domaines, tels que le Docteur et sociologue Djillali Liabès (1948-1993), les poètes Bakhti Benaouda (1961-1995) et Salah Kherfi (1932-1998), ainsi que la poète et journaliste Zahra Rabhi, dite Safia Kettou, outre l'intellectuel et journaliste Tahar Benaicha (1925-2016).    Les  acteurs, chanteurs et compositeurs distingués sont respectivement l'acteur Taha El Amri, la défunte Nora, le chanteur Ouerad Boumediene, l'acteur Hacen Ben Zerari, le musicien Mustapha Skandrani, le cinéaste Boudjemaa Kareche, le plasticien et ancien directeur de la cinémathèque, le défunt Salah Hayoun et la plasticienne, Souhila Belbahar. Outre ces personnalités algériennes, l'ordre du mérite national au rang de "Djadir" a été décerné à trois personnalités étrangères réputée par ses positions courageuses en faveur de  la révolution algérienne, à savoir El Habib Lemsi (Tunisie 1930-2017), le poète et critique égyptien Dr Ahmed Ben Maati Hidjazi et  le réalisateur français Rennie Voutier (1928-2015). Le ministre de la Culture Azzedine Mihoubi a indiqué, dans son allocution, que cette distinction placée sous les auspices du Président de la République Abdelaziz Bouteflika intervient "en signe de reconnaissance et de considération" aux efforts des personnalités distinguées dans les différents domaines intellectuels et artistiques en vue d'enrichir la culture humanitaire en Algérie et dans le monde, ajoutant que cette démarche s'inscrit dans le cadre "d'une conduite exemplaire, d'une action exceptionnel et dénote de l'intérêt de l'Etat pour la science, la recherche, l'art et pour la culture ainsi que leur prise en charge à travers la valorisation des efforts de chercheurs et des créations d'artistes". Suite à la cérémonie de distinction, l'opérette "l'aube et la guillotine" du réalisateur Moulay Meliani Mohamed Mourad, une œuvre de l'écrivain, et romancier Azzedine Mihoubi et du compositeur le défunt Blaoui Houari a été présentée à l'assistance. D'une durée de 1h30, cette œuvre raconte le déroulement du procès du chahid guillotiné Ahmed Zahana appelé "Zabana" jusqu'à son exécution. Elle raconte, en outre, l'histoire du chahid Ahmed Zabana durant ses derniers jours dans un décor et une chorégraphie exceptionnelle. APS

Le feuilleton "El-Khawa" décroche le Grand Prix de la 1ère édition du "générique d'Or"

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Le feuilleton dramatique "El Khawa" réalisé par Medih Belaid, a décroché le Grand prix de la compétition "Le générique d'Or" dans sa première édition lors d'une cérémonie de remise des prix organisée, jeudi soir, à l'Opéra d'Alger Boualem Bessaih. La 1ère édition du "générique d'Or" a été marquée par la compétition entre 5 feuilletons et 18 sitcoms diffusés en 2017 sur les chaines de télévision, publiques et privées. Le jury, présidé par Ahmed Rachdi a décerné le prix de la "meilleure réalisation", dans la catégorie des feuilletons télévisés, à Djaafar Kassim pour son £uvre "Sultan Achour 10" qui a été diffusé sur la chaine privée "Echourouk TV" pendant le mois de Ramadhan 2017. Par ailleurs, les deux feuilletons "Ibn Baddis"à son scénariste Rabah Drif, et "El Khawa" se sont partagés le prix du "meilleur scénario".  Dans la catégorie de sitcoms, la série "Bibiche et Bibicha", réalisée par Sami Ferraoun a remporté le prix du "meilleurs montage et réalisation". Entre autres, le prix de la "meilleure photo" est revenu à Sabri Al-Amri pour le sitcom "Machi Sahel" alors que celui de la "meilleure musique" a été décroché par le sitcom Casbah City.  Dans une allocution d'ouverture, le ministre de la Culture, M. Azzedine Mihoubi a indiqué que "le générique d'Or" se voulait "une évaluation des £uvres cinématographiques et télévisées qui progressent qualitativement et quantitativement en matière de production", précisant que cette compétition constituait "une occasion d'inciter" les acteurs, producteurs et réalisateurs à consentir plus d'efforts.       De son côté, le conseiller, chargé d'Etudes et de Synthèse (CES) au niveau du ministère de la Communication, Madjid Bekkouche a appelé les médias (journaux, chaines de télévision et de radio) à £uvrer à "la consolidation du référentiel de l'identité algérienne et au renforcement de l'intégration  sociale".  A noter que cette cérémonie de remise des prix a été marquée par la présence de plusieurs personnalités culturelles et politiques ainsi que des embres du corps diplomatique accrédité à Alger. Le prix du "générique d'Or", organisé par le Réseau algérien des Professionnelles du cinéma et de la télévision et le Commissariat du Festival international d'Oran du film arabe (Fiofa), a pour but d'inciter et d'encourager les talents du cinéma.

Le Printemps des arts au Palais de la culture : jalons d'un marché de l'art

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Coup d’envoi, ce samedi, de la première édition du Printemps des arts, un événement très attendu et qui réunit des artistes des 48 wilayas. Peinture, dessein, sculpture, près de 500 œuvres sont exposées au Palais de la culture Moufdi Zakaria de Kouba (Alger).      Son objectif, donner une plus grande visibilité aux plasticiens algériens et jeter les jalons d’un marché de l’art. Il se déroule du 5 au 12 mai en cours.  Plus de détails dans le compte rendu de Hayet Rahmani pour la Radio chaine 3  

Nadia Baroud, Abdelkader Chaou et Amazigh Kateb en concert à Londres

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Le musicien et chanteur Amazigh Kateb

Plusieurs chanteurs algériens ont animé jusqu’à tard dans la soirée du samedi à dimanche, un concert à Londres auquel ont assisté les membres de la communauté algérienne vivant dans la capitale britannique et ailleurs. Nadia Baroud, Abdelkader Chaou et Amazigh Kateb ont ravi le public avec des chansons du patrimoine algérien, lors du forum culturel Jawhar DZ, progammé par l’organisation Quintessence DZ qui se consacre à la promotion de la culture algérienne au Royaume-Uni. Le chanteur-compositeur Kamel Hammadi était l’invité d’honneur de la soirée. Il a interprété avec Nadia Baroud un duo de son riche répertoire. En marge de la soirée, il a déclaré à l’APS que même s'il avait arrêté de chanter depuis plusieurs années, il était enchanté de voir ses chansons reprises par beaucoup d’autres chanteurs, notamment des jeunes générations. Nadia Baroud qui chante pour la première fois à Londres, est entrée en scène avec les youyous du public. Elle a interprété des chansons des grands maîtres de la chanson Kabyle, à l’instar d’Akli Yahiyatène, mais aussi des grandes chanteuses H’nifa, Cherifa et Karima. Abdelkader Chaou a repris les grands titres du chaabi et de la musique arabo andalouse avant que le musicien et chanteur Amazigh Kateb ne termine la soirée en beauté avec son style gnawa. Le forum Jawhar DZ qui ambitionnait de "promouvoir la culture et l’image algériennes" a été initiée par Naima Boudour et Yasmina Smati, toutes les deux algériennes nées en France, résidant à Londres depuis quelques années.  "L’idée d’organiser un événement pour montrer la richesse de notre patrimoine culturel a été motivée par la rareté d’activités algériennes au Royaume-Uni", ont-elles déclaré à l’APS. La manifestation était aussi placée sous le signe de la solidarité avec les rescapés de l’incendie de la tour Grenfell survenu le 14 juin 2017 à Londres. Des survivants de cet incident qui a tué 71 personnes, ont été conviés à la soirée. "Nous voulons montrer à la société civile britannique une Algérie solidaire tout en les invitant à célébrer avec nous la culture algérienne", a expliqué Naima, soutenue par Yasmina. La journée a également été marquée par une exposition d’art et de culture algériens. Le public pouvait admirer les multiples facettes du patrimoine culturel et artistique de l’Algérie. APS

Merzak Allouache appelle les jeunes cinéastes à chercher des fonds de financement commun

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Le réalisateur Merzak Allouache a appelé samedi, les jeunes cinéastes à se rapprocher des «réseaux de financement» pour la réalisation de leurs films, car le cinéma repose aujourd'hui sur le financement commun. Invité d'honneur de la 3e édition du cinéclub, organisé mensuellement par le Centre national de la Cinématographie et de l'audiovisuel (CNCA), M. Allouache a affirmé que «les cinéastes doivent s'enquérir de l'opération de distribution et de montage financier. «Le cinéaste doit chercher d'autres modes de financement, en se rapprochant des réseaux de financement et du monde de la distribution, tout en s'enquérant de l'opération de montage financier car la production cinématographique repose aujourd'hui sur le financement commun», a-t-il soutenu. Le réalisateur les a exhortés à s'informer du fonctionnement de ces réseaux, relevant, à ce propos, que «le financement de l'Etat n'est pas suffisant pour la production d'un film, c'est pourquoi les cinéastes doivent aller chercher d'autres sources de financement». Il a indiqué, en outre, que les jeunes cinéastes algériens avaient du mal à produire leurs films, contrairement à sa génération qui était soutenue par des producteurs très coopératifs. S'agissant de ses projets, M. Allouache a fait savoir qu'il était en train de tourner un nouveau film, sans fournir d'amples détails, indiquant qu'il était actuellement occupé à accompagner la distribution et la projection de son film «Madame courage» dans les salles de cinéma algériennes, par l'Office national de la culture et de l'information (ONCI), et dont l'avant-première est prévue ce mois-ci à la salle Atlas (Bab El Oued). Né en 1944 à Alger, M. Allouache a poursuivi ses études au centre national du cinéma algérien (CNCA), pour investir ensuite le monde du cinéma, en réalisant plusieurs films dont son œuvre magistrale «Omar Gatlatou», «Bab El Oued City» (1993), «Alger -Beyrouth» (1998), «L'autre monde» (2001), Harraga (2003), «Le repenti» (2012), «Madame courage» (2015) et bien d'autres.

Portes ouvertes sur les musés et les palais de culture

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Le coup d’envoi des journées portes ouvertes sur les musées et les palais de culture, qui interviennent dans le cadre de la célébration du mois du patrimoine, " Mon patrimoine, mon avenir", a été donné dimanche à la maison de la culture Mouloud Mammeri. Placées sous le thème "l’apport des mussées et les palais de culture dans la transmission du patrimoine aux générations futures", la manifestation qui s’étalera jusque au 9 mai, a pour objectif de "mettre en valeur le rôle des musés dans la sauvegarde de nôtre mémoire, étant la première institution garante de la sauvegarde et de la préservation du patrimoine", a souligné la directrice de la culture, Mme Goumeziane. La manifestation a été inaugurée en présence des directrices du musé de Tlemcen, Ainad Tabet Radia, du musé Nasreddine Dinet de Boussada, Nora Ait Menguellet et du directeur du Palais des Raïs, Bastion 23, Boualam Belchheb. Les invités de la direction de la culture, pour l’occasion, ont exprimé leur "joie" d’être hôte de cette manifestation en émettant le souhait que la wilaya de Tizi-Ouzou se dote, elle aussi, de son musé, dont les travaux, a fait savoir M. Goumeziane, sont "achevé à près de 70%". Celui-ci, a-t-elle ajouté, "permettra à la wilaya de rassembler et de mettre en valeur l’ensemble de son patrimoine dont plusieurs sites et objets traditionnels, bijoux, poterie, robe kabyle, méritent d’être catalogués au patrimoine universel de l’Humanité", à l’instar de la "chedda", costume traditionnel tlémcenien, de la Casbah et des ruines romaines de Tipasa. A ce propos, elle a indiqué, que la direction de la culture, le ministère de la culture et le Centre National de Recherches Préhistoriques Anthropologiques et Historiques (CNRPAH), travaillent "en étroite collaboration" pour réaliser cet objectif". Plusieurs activités sont prévues durant cette manifestation dont une exposition de photos ainsi que des projections vidéo sur différents aspects de la conservation du patrimoine et de l’activité muséale. APS

« Le printemps des arts » l’intitulé de l’expositio inaugurée au palais de la culture

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La manifestation « Le printemps des arts », une exposition réunissant les œuvres d'une centaine d'artistes peintres et sculpteurs de différentes régions du pays a été inaugurée samedi au Palais de la Culture  à Alger. Cette grande exposition organisée par le ministère de la Culture comporte également des espaces réservés à une dizaine de galeries d'arts qui ont chacune sélectionné des artistes à présenter. La première édition du printemps des arts a été inaugurée par le ministre de la Culture Azzedine Mihoubi accompagné de la ministre de l'Education nationale Nouria Benghabrit, la ministre de l'environnement et des énergies renouvelables Fatma Zohra Zerouati, du wali d'Alger Abdelkader Zoukh et de représentants du corps diplomatique agréés à Alger. Le ministre de la culture Azzedine Mihoubi s’est exprimé à propos de cette exposition sur les ondes de la Radio Algérienne. Des représentants de la Sureté nationale, de la Défense nationale, des douanes et du secteur des finances étaient également présents à cette inauguration. Dans une scénographie sobre, les salles du Palais de la Culture Moufdi-Zakaria ont été transformées en galerie d'art pour accueillir les œuvres d'artistes peintres comme Asmahan Mezouar de Tlemcen, Hadia Hadjress de Tiaret, Hamia Abdelali de Ouargla, Karim Tidafi de Tipaza, Mohamed Chafa  Ouzzani de Béjaïa, Ismaïl Oubah de Djelfa, Lahcen Chetti d'El Oued, Sadek Boudiar de Tebessa, Hacène Boudrâa de Constantine ou encore Mohamed Bakli de Ghardaïa. Ces artistes ont exposé des travaux de différentes écoles de peinture allant du réalisme au contemporain en passant par le figuratif et l'orientalisme et l'abstrait, le tout décliné en différentes techniques et généralement sur des supports classiques. Plus connus pour leur travaux souvent exposés des artistes comme Djahida Houadef , Leila Boutamine Ouldali d'Oran, Mohamed Chafa Ouzzani de Béjaïa, Karim Tidafi de Tipaza, Mustapha Guedjati de Sétif ou encore Abdelkader Belkhorissat de Sidi Bel Abbes prennent également part à cette manifestation qui vise d'abord à « offrir un espace de rencontre et d'échange entre professionnels » des arts plastiques et à identifier les acteurs de cette discipline, a indiqué le ministre de la Culture. Beaucoup moins représenté que la peinture, la sculpture était également présente avec les oeuvres d'un des doyens de la sculpture algérienne Mohamed Massen, celles inspirées de la bijouterie de Redha Skander, ou encore les œuvres très remarquées du jeune sculpteur Rachid Mouaffaq de Batna. L’une des galeries d'art a marqué sa présence en présentant les œuvres d'une vingtaine d'artistes différents ayant déjà exposé dans cette galerie dont Kenza Bourenan, Orza Tanem, Hassiba Hafiz, Mustapha Nedjaï, Debladji Said, Noureddine Ferroukhi, Abderrahmane Aidoud, ou encore  Moncef Guita. Une touche plus contemporaine caractérise la sélection de la galerie « Seen Art » qui propose aux visiteurs des oeuvres de Malek Salah, Rachid Djemaï, Bardi, Hcen Drici, Karim Meziani ou encore Yasser Amer, alors que le choix de la galerie « Sirius » s'est porté sur des artistes installés comme Karim Sergoua, Valentina Ghanem et le photographe d'art et plasticien Mizo. Dans le cadre de cette exposition une journée d'information sur le marché de l'art est prévue le 10 mai pour débattre de thèmes liés à la protection des artistes, à la réalisation des œuvres d'art, leur cotation et autre acquisition. Avec plus de 500 œuvres exposées, la manifestation « Le printemps des arts » se poursuit jusqu'au 12 mai au palais de la culture Moufdi Zakaria à Alger.  

Le printemps des arts se poursuit au Palais de la culture

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Première édition du printemps des arts qui se déroule depuis le 5 et jusqu’au 12 mai au Palais de la culture Moufdi Zakaria d’Alger. Il donne une image sur le réel potentiel artistique en Algérie. Ils sont plus de 150 plasticiens à y participer et qui confrontent couleurs et formes, idées et concepts, imaginaires et univers créatifs. Hayet Rahmani a rencontré l’un deux venu de Annaba et il s’appelle Mohamed Demis. Ecoutons-le…          
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