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Channel: Radio Algérienne - Culture
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Le Centre national du livre lance une formation au profit des libraires

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  Le Centre national du livre lancera en juillet prochain à Alger une formation au profit des libraires, sous l'encadrement d'experts étrangers, en vue de "professionnaliser" le métier de libraire, a révélé jeudi son directeur général, Hassan Bendif.  Les librairies professionnelles sont celles "dont 70% de leurs rentrées d'argent proviennent de la vente des ouvrages", a soutenu M. Bendif qui précise que le nombre des librairies au niveau national "ne dépasse pas 40".  Le responsable a rappelé dans ce cadre, le cycle de formation lancé en octobre dernier au profit de dix jeunes traducteurs (arabe/français-français/arabe), en partenariat avec le Centre national du livre français.  Créé par décret ministériel en 2009, le Centre national du livre a organisé récemment plusieurs journées d'étude autour du livre, en présence d'experts étrangers, ainsi que d'autres journées autour de l'édition et la distribution en présence d'éditeurs venant de différentes wilayas, outre sa participation à plusieurs salons internationaux du livre, a encore indiqué M. Bendif. APS   

"Défi de la lecture arabe" : l'élève Bouchra Maysoun Slimane à Dubaï pour concourir

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  L'élève Bouchra Maysoun Slimane, originaire de Tlemcen, représentera Algérie aux sélections finales de la deuxième Edition du concours "Défi de la lecture arabe", qui se tiendra la mi-octobre prochain à Dubaï (Emirats Arabes Unis-EAU), a-t-on appris jeudi lors de la cérémonie de clôture des sélections nationales organisées à Alger. L'élève Bouchra Maysoun, qualifiée par les membres du jury, "d'analyste créative", a été choisie parmi plus de deux millions de participants aux sélections nationales qui se sont déroulées en trois phases (au niveau des établissements éducatifs, une sélection inter wilayas puis une sélection nationale). Cette élève concourra pour le titre de "champion du défi de la lecture arabe", aux côtés des représentants de 15 états arabes. L'édition du concours de cette année portera le nom de la regrettée Fatma Ghoulam (Adrar), l'élève algérienne décédée suite à un accident de la route, survenu leur de son départ vers Alger pour participer à ce concours.   Le prix de ce concours sera décerné mi-octobre prochain à Dubaï. Le concours du "Défi de la lecture arabe", institué en septembre 2015, par le Vice-président et Premier ministre des EAU,  Gouverneur de Dubaï et organisée en coordination avec "MBC Group", vise à développer la passion de la lecture chez les enfants et les jeunes dans le monde arabe et contribuer à l'ancrage de cette culture dans leur vie quotidienne. La ministre de l'éducation nationale, Nouria Benghebrit et le ministre de la culture, Azzedine Mihoubi ont présidé cette cérémonie, en présence de la secrétaire générale du projet du "Défi de la lecture arabe", Nadjla el-Chamsi. Plusieurs écoles ont été distinguées à l'occasion, à savoir: l'école Abdelhamid Dar Abid (Mostaganem) et l'école des enfants handicapés visuels (Sétif) dans la catégorie de "l'école exceptionnelle", outre la distinction du superviseur exceptionnel en la personne de Abadi Belaid Deraa, choisi parmi cinq superviseurs. Le prix diamant est revenu aux lauréats de l'année dernière ayant lu 75 livres, outre la remise de plusieurs prix consistant en des chèques, des attestations de mérite, 75 livres et un séjour de trois jours dans l'Emirat de Dubaï, au profit des dix premiers lauréats. L'élève Mohamed Djeloud, 7 ans, originaire de Constantine, a été sacré champion du "Défi de la lecture arabe" lors de la première édition de ce concours. La lauréate des sélections nationales, Bouchra Maysoun a indiqué, dans une déclaration à l'APS, qu'elle ferait de son mieux pour garder ce titre pour Algérie. APS

La pièce "Keddab.com" présentée à Alger : quand la technologie devient un moyen malveillant

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  La générale de la pièce de théâtre "Keddab.com", une mise en garde contre les méfaits de la technologie lorsqu'elle devient un moyen à des pratiques malveillantes, a été présentée en Tamazight jeudi soir à Alger, puisant ses formes du genre  comique, devant un public peu nombreux. Mis en scène par Linda Sellam sur un texte de Mourad Snoussi, traduit en Tamazight par Mohamed Yergui, le spectacle déroulé en 60 mn à la salle El Mouggar, aborde dans le rire et la dérision, une relation conjugale en souffrance, rendue par une femme, "Habbouba", qui a cédé au doute et à la suspicion, car son mari irresponsable et infidèle, entretient plusieurs relations extra-conjugales à travers les réseaux sociaux et les nombreux appels téléphoniques qu'il reçoit régulièrement. Croyant échapper à la vigilance de son épouse, campée par Nassima Adnane, le mari, rendu par Mohamed Ferchouli, a oublié que "Habbouba"était universitaire et diplômée en informatique... Dans une scénographie minimaliste, £uvre de Habbel Boukhari, où l'intérieur d'une maison est représenté par une table, deux chaises et une simple façade de mur sur laquelle étaient accrochés les portraits du couple en costumes de cérémonie et ceux de leurs mères respectives, les comédiens ont bien exploité les espaces et porté le texte écrit dans des dialogues directs, entretenant la dualité et l`intrigue dans un rythme ascendant et soutenu. La bande son, faite d'ambiances festives et de quelques bruitages d'identifiants sonores de messagerie et de sonneries téléphoniques, a judicieusement permis la mise en situation du spectacle qui devait également être bien servi par un éclairage travaillé, si ce n'est une malencontreuse interruption subite de courant qui a plongé la salle dans le noir durant une vingtaine de minutes, incitant les spectateurs présents à éclairer la scène avec leurs téléphones portables. "Merci au public qui nous a vraiment encouragé à poursuivre le spectacle !", a réagi le duo de comédiens à l'issue de la représentation. Rappelant la nécessité de l'entente dans le couple, Nassima Adnane et Mohamed Ferchouli, à la modeste expérience issue essentiellement du théâtre pour enfants, ont brillamment servi le spectacle, se donnant mutuellement la réplique dans des échanges contradictoires aux humeurs coléreuses, appuyés par des déplacements énergiques aux pas décidés. Par son professionnalisme que le monde du 4e art lui reconnaît, Linda Sellam a su traduire la densité du texte, aux exigences multiples, par une conception taillée sur-mesure et une direction d'acteur des plus concluantes, au plaisir d'un public conquis qui a savouré chaque instant du spectacle dans la délectation, applaudissant longtemps les comédiens.  Produite par la Coopérative culturelle et artistique "Les Nomades", en collaboration avec le Théâtre régional Malek-Bouguermouh de Bejaïa, la pièce de théâtre "Keddab.com", a été programmée pour une représentation unique. APS

La vocation culturelle peut redonner "une seconde vie" aux Arènes d'Oran

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 La conversion des Arènes d'Oran en lieu de formation et d'animation artistique a été vivement recommandée, samedi à Oran, par des universitaires à l'occasion d'une conférence dédiée à cette bâtisse de plus d'un siècle d'âge. "La vocation culturelle est à même de redonner une seconde vie à cette structure", ont suggéré les animateurs de la rencontre tenue à l'Institut Cervantès à l'initiative de l'association locale "Les Nomades Algériens". L'enseignant Lotfi Benamar du département d'architecture de l'Université des sciences et de la technologie d'Oran "Mohamed Boudiaf" (USTO-MB) a insisté dans ce cadre sur la nécessité de donner une nouvelle vocation aux Arènes, qui soit en rapport avec le monde de la culture. La proposition émise en ce sens vise à la préservation du site considérée, "car nous avons une responsabilité à l'égard des lieux témoins de notre histoire", a-t-il soutenu. Les recommandations faites par cet intervenant et deux autres universitaires, Malika Kasmi et Leila Neil, issues également de l'USTO-MB portent notamment sur la conversion des lieux en espaces de formation et d'animation dédiés aux différents arts du spectacle tels le cinéma, la musique, le théâtre et la chorégraphie. La vision de ces architectes comprend en outre "la couverture du site par la construction d'une terrasse panoramique dans un objectif à la fois esthétique et acoustique". Infrastructure unique en son genre à l'échelle du continent Africain, le site des Arènes est implanté à "haï Mahieddine" (ex-Eckmühl) où il fut construit il y a plus d'un siècle. Cet endroit a abrité durant la période coloniale des spectacles de tauromachie, ont rappelé les universitaires, préconisant l'exploitation de la bâtisse pour la programmation d'activités qui correspondent à "nos valeurs culturelles et identitaires". L'association organisatrice de cette rencontre, "Les Nomades Algériens", a été créée en 2009 par un groupe de jeunes dans le but de promouvoir et valoriser l'image touristique du pays. Ces jeunes ont à leur actif l'élaboration d'un guide pratique traçant un circuit précis pour la visite des différents sites et monuments du quartier historique de Sidi El-Houari. L'association prévoit encore d'autres éditions portant sur les autres circuits urbains et naturels de la ville d'Oran.  

L’avant première du film "Ben Badis" aura lieu respectivement à Constantine, Alger et Oran

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L’avant-première du film "Ben Badis" du  réalisateur syrien Basil El Khatib aura lieu les 23, 24 et 25 mai, respectivement à Constantine, Alger et Oran, a-t-on appris de l’Office Nationale de la Culture et de l’Information (ONCI). Le premier tour de manivelle du film "Ben Badis", basé sur le scénario de  Rabah Drif, a été donné en mars 2016. Il a été réalisé dans le cadre de la  manifestation "Constantine, capitale de la culture arabe 2015". Cette oeuvre traite des aspects de la vie du penseur et réformiste  algérien, natif de la ville de Constantine (1889-1940) et ses voyages à  l’étranger. Le film commence par un évènement important de la vie de cheikh Abdelhamid  Ben Badis, le décès de son grand père en 1899. D’autres évènements  marquants de la vie du président de l'Association des oulémas musulmans  algériens seront abordés, mais surtout son combat contre le système  colonial et pour la défense de la personnalité algérienne. Le personnage de Ben Badis est campé par le jeune acteur Youcef Sehairi,  qui a été distribué dans le film retraçant le parcours du colonel Lotfi. Le film sera projeté ces vendredi, samedi et dimanche respectivement à la  salle "Ahmed Bey" de Constantine, à l’opéra d’Alger "Boualem Bessaih" et à la salle Es-Saâda d’Oran, a-t-on indiqué. APS

Article 1

Avant-première ce mardi à Constantine du film "Ben Badis"

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L’avant-première du film "Ben Badis" du réalisateur syrien Basil El Khatib aura lieu aujourd’hui mardi, demain mercredi et jeudi prochain, respectivement à Constantine, Alger et Oran, a-t-on appris de l’Office Nationale de la Culture et de l’Information (ONCI). Le premier tour de manivelle du film "Ben Badis", basé sur le scénario de Rabah Drif, a été donné en mars 2016. Il a été réalisé dans le cadre de la  manifestation "Constantine, capitale de la culture arabe 2015".  Cette œuvre traite des aspects de la vie du penseur et réformiste algérien, natif de la ville de Constantine (1889-1940) et ses voyages à  l’étranger.  Le film commence par un évènement important de la vie de cheikh Abdelhamid  Ben Badis, le décès de son grand père en 1899. D’autres évènements marquants de la vie du président de l'Association des oulémas musulmans algériens seront abordés, mais surtout son combat contre le système colonial et pour la défense de la personnalité algérienne. Le personnage de Ben Badis est campé par le jeune acteur Youcef Sehairi, qui a été distribué dans le film retraçant le parcours du colonel Lotfi. Le film sera projeté ces vendredi, samedi et dimanche respectivement à la salle "Ahmed Bey" de Constantine, à l’opéra d’Alger "Boualem Bessaih" et à la salle Es-Saâada d’Oran, a-t-on indiqué.   

Article 2


SIPPA : Mihoubi visite le stand de l'Algérie

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Le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi a visité mardi le stand de l'Algérie au Salon international des professionnels des patrimoines (SIPPA) qui se tient à Arles (France), a indiqué un communiqué du ministère.  Accompagné du Consul général d'Algérie à Marseille Boudjemaa Rouibah, du maire d'Arles Hervé Schiavetti, du député socialiste Michel Vauzelle et de l'expert international algérien, Mounir Bouchenaki, M. Mihoubi a visité le stand de l'Algérie, invitée d'honneur de cette édition.  La participation de l'Algérie comme invité d'honneur "n'a pas uniquement pour objectif d'exposer ou de faire connaitre le patrimoine culturel, mais vise également à rechercher les solutions et les moyens d'intégrer le patrimoine culturel à la dynamique économique", a indiqué le ministre de la Culture dans son allocution.  Après avoir appelé à la "promotion de la coopération bilatérale entre les institutions culturelles et l'échange entre les professionnels des deux pays ", le ministre a mis en avant l'importance de "la qualification et de la formation des spécialistes et des professionnels dans la restauration des biens culturels", précise le communiqué.  Pour sa part, le député Michel Vauzelle a salué "l'importance accordée par le gouvernement algérien à la protection du patrimoine culturel, et ses efforts pour la paix dans la monde, la promotion du dialogue entre les civilisations, le rejet de la haine et la lutte contre la violence et le terrorisme".  Le maire d'Arles a indiqué, quant à lui, que "la conjoncture actuelle est plus favorable pour renforcer la concertation et la coopération entre les deux pays".  Les experts de la délégation algérienne ont animé plusieurs conférences au cours desquelles ils ont exposé "les méthodes et les techniques utilisées dans la préservation du patrimoine culturel et la promotion de sa dimension économique".  L'Algérie a été désignée invitée d'honneur de la 3e édition du SIPPA qui se tient à Arles du 22 au 24 mai 2017. 

Article 4

Artisanat : Zahra Bacha, une artiste à la technique originale

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Des pièces enfumées au feu de bois et ornées de motifs berbères et de lettres en Tifinagh, ce sont les caractéristiques des œuvres d’art confectionnées par Zahra Bacha. Dessinatrice, céramiste et potière, Mme Bacha surprend par l’originalité de ses œuvres. En plus de l’assimilation du savoir-faire local, Mme Bacha ouvre ses horizons et s’inspire des techniques asiatiques pour perfectionner ses créations.     

L’Union des écrivains algériens ouvre un café littéraire à Alger

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L’Union des écrivains algériens (UEA) a ouvert à son siège, sis 88 Rue Didouche Mourad à Alger, un café littéraire. A l'occasion, un programme d’animation culturelle est programmé, chaque jeudi et vendredi, durant le mois de Ramadhan. Selon Noureddine Taibi, vice-président de l’UEA, rencontré par Salim Brahimi du service culturel de la radio Chaine 3, le café littéraire, fraichement inauguré, est « un nouvel espace culturel mis à la disposition des écrivains et des artistes, de tous bords, pour débattre et échanger en toute intimité culturelle » L’ouverture de ce café littéraire intervient après la réception par l’UEA de son siège, de Didouche Mourad à Alger, qui a fait l’objet de travaux de rénovation qui ont duré une année.

Article 5

«Le voyage de Keltoum» de Anis Djâad en compétition en Inde

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Le court métrage de fiction Le voyage de Keltoum, dernière œuvre du cinéaste Anis Djâad prendra part à la compétition officielle du 6e Festival du court métrage de Bangalore (Inde), prévu le 11 juin prochain, a-t-on appris auprès de l’équipe du film. Sorti en 2016, Le voyage de Keltoum est la troisième œuvre du réalisateur après la sortie, en 2014, de Passage à niveau, doublement primé au Festival du court métrage Maghrébin à Oujda (Maroc), et en 2012 de Le hublot, également primé aux dernières Jca (Journées cinématographiques d’Alger). L’œuvre aborde de manière atypique le retour aux sources des immigrés, à travers l’histoire de Keltoum qui se retrouve obligée, malgré de grandes difficultés financières, de réaliser le vœu de sa sœur mourante de retourner sur des lieux qu’elle considère comme sacrés. Cette promesse confronte Keltoum à sa propre misère sociale, à sa famille qui lui reproche sa modeste condition et à l’obligation de réaliser les dernières volontés de sa défunte sœur.  Ce film a également été sélectionné en compétition officielle du 25e Festival panafricain du cinéma et de la télévision d’Ouagadougou (Fespaco), 27e Festival du cinéma africain, d’Asie et d’Amérique latine à Milan en Italie, ou encore au 6e Festival du film africain de Louxor (Egypte).   Le voyage de Keltoum avait reçu le Prix du meilleur rôle féminin du 6e Festival maghrébin du film d'Oujda, une distinction revenue à l'actrice franco-libanaise Soraya Baghdadia.       Une soixantaine de courts métrages en provenance de l'Inde, de Chine, de France, du Maroc ou encore de l'Italie prendront part à cette manifestation. Créé en 2012 pour célébrer le centenaire du cinéma indien, le Festival du court métrage de Bangalore œuvre pour la promotion des œuvres de jeunes auteurs indiens et étrangers.    

Article 6


«Babor Ghraq» de Slimane Benaissa revient sur les planches du TNA

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La pièce de théâtre Babor Ghraq du dramaturge Slimane Benaissa qui avait marqué la scène algérienne dans les années 1980-1990, revient sur les planches du Théâtre national Mahieddine Bachtarzi (TNA) où elle est programmée du 12 au 21 juin, a-t-on appris auprès du département de programmation et de diffusion du TNA. Mise en scène par Slimane Benaïssa, Babor Ghraq, une tragi-comédie de 100 mn écrite en 1983, raconte l'histoire de trois rescapés d'un naufrage, l'intellectuel, l'affairiste et l'ouvrier, campés par Mustapha Ayad, Omar Guendouz et Slimane Benaïssa, respectivement. Accrochés à une épave, les trois survivants, perdus au milieu de nulle part, en pleine mer, vont devoir négocier, chacun d'eux cherchant son salut. Ecartant toute idée d'une «éventuelle actualisation», Slimane Benaïssa, a affirmé à l'APS vouloir présenter Babor Ghraq, avec «strictement les mêmes contenus» sans rien changer de la conception originale de la pièce. Absent de la scène algérienne depuis 1993, Slimane Benaissa, romancier, essayiste et auteur d'une vingtaine de pièces de théâtre, compte à son actif, entre autres spectacles, Boualem zid el Goddam (1974), El Mahgour (1978), Enta Khouya Wana Ch'koun (1992) et Conseil de discipline (1994), remontée en 2011, lors d'un bref retour sur la scène algéroise très apprécié du public. APS

"Le voyage de Keltoum" de Anis Djâad au festival "Aflam du sud" en Belgique

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Le court métrage de fiction "Le voyage de Keltoum" dernière œuvre du cinéaste Anis Djâad prendra part à la compétition officielle du 6e Festival du cinéma arabe de Bruxelles "Aflam du sud" en Belgique, prévu du 26 au 29 septembre, a-t-on appris auprès de l`équipe du film. Sorti en 2016, "Le voyage de Keltoum" est la troisième œuvre du réalisateur après la sortie en 2014 de "Passage à niveau", doublement primé au Festival du court métrage Maghrébin à Oujda (Maroc), et "Le hublot" (2012) également primé aux dernières JCA (Journées cinématographiques d`Alger). L`œuvre aborde de manière atypique le retour aux sources des immigrés, à travers l`histoire de Keltoum qui se retrouve obligée, malgré de grandes difficultés financières, de réaliser les veux de sa sœur mourante de retourner sur des lieux qu'elle considère comme sacrés. Cette promesse confronte Keltoum à sa propre misère sociale, à sa famille qui lui reproche sa modeste condition et à l`obligation de réaliser les dernières volontés de sa défunte sœur.  Ce film a également été sélectionné en compétition officielle du 25e Festival  panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco), 27e Festival du cinéma africain, d`Asie et d`Amérique latine à Milan en Italie, ou encore au 6e Festival du film africain de Louxor (Egypte).  "Le voyage de Keltoum" avait reçu le Prix du meilleur rôle féminin du  6e Festival maghrébin  du film d'Oujda, une distinction revenue à l'actrice franco-libanaise Soraya Baghdadia.            "Aflam du sud" n'a pas encore dévoilé la totalité de sa sélection officielle  Créé en 2012, le festival encourage l'échange entre cinéastes par la découverte de modes de vie et de pensée d'horizons pluriels. APS  

Emission de deux timbres poste consacrés à la Journée nationale de l'artiste

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Algérie Poste procédera, à partir de demain jeudi, à l'émission de deux timbres poste consacrés à la Journée nationale de l'artiste, d'une valeur faciale de 50 DA chacun, indique mercredi un communiqué de cet établissement public. La vente anticipée de cette émission philatélique aura lieu, jeudi et vendredi, dans les 48 recettes principales des postes situées aux chefs-lieux de wilaya, tandis que la vente générale est prévue samedi dans tous les bureaux de poste, précise la même source, ajoutant qu'une enveloppe 1er  jour à 7 DA sera également mise en vente avec une oblitération 1er  jour illustrée. APS

Les jeunes lauréats du Prix Ali Maachi honorés à Mostaganem

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Les lauréats du concours du prix Ali Maachi, institué par le président de la République au profit des jeunes créateurs dans les domaines littéraire et artistique ont été honorés, lors d’une cérémonie organisée, dans la soirée du jeudi à vendredi, à Mostaganem. Le ministre de la culture, Azzedine Mihoubi, qui a présidé la cérémonie, a  souligné, dans son allocution, que ce prix institué par le président Abdelaziz Bouteflika, est une reconnaissance à tous ceux qui ont servi la culture nationale. Il a rappelé qu’en l’espace d’une année seulement le président de la République a remis des médailles à plus d’une centaine de personnalités nationales. Pas plus tard qu’hier (jeudi), le président Bouteflika a honoré 47 personnalités qui ont tant donné à la culture nationale dans tous les  domaines des arts, de la culture, de la pensée et de la création, a-t-il ajouté. M. Mihoubi a, par ailleurs, rappelé que le Prix Ali Maachi, créé il y a dix ans et récompensant des jeunes créateurs, a été attribué à des lauréats, devenus aujourd’hui de grands noms représentant dignement la culture et les arts. Par ailleurs, il a indiqué que 6 000 cartes d’artistes ont été distribuées jusqu’à présent à l’échelle nationale permettant à leurs bénéficiaires de jouir de tous leurs droits.  L’Algérie veille à consacrer les droits des intellectuels pour leur permettre de vivre dignement, a-t-il signalé. Les lauréats dans les différentes catégories ont reçu leurs distinctions. Dans la catégorie Roman, le premier prix est revenu à Saddek Bentahar Farouk (Djelfa) et les deuxième et troisième prix ont été décernés à Abdelmounaem Bensayeh (Ouargla) et Younès Benchabli (Boumerdès). Dans la catégorie Poésie, les trois prix ont été décernés respectivement à Rédha Bourabaa (Alger), Amina Zahmoune (Constantine) et Samia Mahneche (Batna). Dans la catégorie Texte dramatique, seuls les deuxième et troisième prix ont été attribués respectivement à Nawal Djebali (Constantine) et Omar Mohamed Bakir (Relizane). Dans la catégorie Musique, les trois prix sont revenus respectivement à Rabie Sadji (Mostaganem), Yahia Bensaoud (Djelfa) et Rakik Nardjes (Alger). Dans la catégorie Chants et danses, les trois lauréats sont respectivement Ould Aîssa Fatma Zohra (Blida), Khelladi Salah Eddine (Bordj Bouariridj) et Bourahla Chaker (Alger). Dans la catégorie Audiovisuel, le jeune Laababa Abdeldjawad (Sidi Bel-Abbès) a remporté le prix, suivi respectivement de Mebarki Asma (Boumerdès) et Riad Touat (Alger). Dans la catégorie Théâtre, les trois lauréats sont respectivement Taachit Issam (Batna), Hocine Mokhtar (Mascara) et Aïssa Seguini (Bordj Bouariridj). Les trois prix attribués dans la section Arts plastiques sont revenus aux artistes Hadj Kacem Fethi (Tlemcen), Hamza Arab (Laghouat) et Kerrour Mohamed (Sidi Bel-abbès). Par ailleurs, l’artiste égyptien Abdelhamid Machaal, établi en Algérie depuis 1957 a été honoré à cette occasion ainsi que de nombreux artistes, en l’occurrence Arabi Abdelkader (poète), le comédien et metteur en scène du théâtre Djilali Aoufi, Boulaï Bentrizik (musique andalouse), Cheikh Bendehiba Tikouk connu sous le nom de cheikh Bouguirati (bedoui), le musicien Amine Cheikh, l’artiste peintre Mohamed Oulhaçi, le chanteur Mohamed Tahar et bien d'autres. Cette cérémonie officielle, qui s’est déroulée en présence du président du Conseil national des arts et des lettres, Abdelkader Bendameche, a été marquée également par des tours de chants animés par de nombreux chanteurs. Les membres du jury, présidé par Abdelkader Bougheraza, se sont félicités de la qualité des travaux primés alors que de nombreux lauréats ont exprimé leur joie d’avoir reçu ce prix qui porte le nom d’un illustre artiste et militant de la cause nationale, exécuté par l’armée française le 8 juin 1958. Il est à noter que le premier prix de chaque catégorie est doté d’un montant de 500.000 DA. L’ONDA a décerné des sommes de 300.000 DA et 100.000 DA pour les deuxième et troisième lauréats de chaque catégorie. APS 

Beihdja Rahal en concert dès ce samedi à Alger, Biskra et Oran

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Bonne nouvelle pour les amoureux de la musique arabo-andalouse. La diva, Beihdja Rahal, est de retour pour illuminer les nuits ramadhanesques des Algériens dès ce samedi. L’interprète à la voix envoûtante de cet art raffiné vient de sortir un nouvel album, le vingt-sixième, intitulé Nouba Mezdj Ghrib-Zidane, produit par les éditions algériennes Ostowana. De quoi ravir un public qui aura à apprécier ses notes et la voix sublime de l’interprète, comme elle se plaît à le préciser, durant ce mois de Ramadhan. Trois concerts sont en effet au programme en collaboration avec l’ONCI (Office national de la culture et de l’information). Ne se limitant pas à Alger, Beihdja Rahal va à la rencontre de son public où qu’il se trouve. Un premier concert est prévu dès demain samedi, à la salle El Mougar à partir de 22h30, un deuxième le 19 juin à Biskra, et un troisième le 22 juin à Oran à la salle El Maghreb. Dans un entretien accordé à Nadia Siassi de la Radio chaine 3 dans son émission Le Guide Culturel, la diva tient à préciser qu'il s'agit là d'un patrimoine national et non à un art réservé à une certaine catégorie.  Un patrimoine pour lequel elle ne cache nullement sa passion et se sent totalement investie de la mission de sa préservation, lors de ses nombreuses interprétations aussi bien en Algérie qu'à l'étranger.  
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